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– Mis à jour le 25/05/2018 –

Cela fait 250 ans qu’on attendait ça !

En 1750, Benjamin Franklin découvre l’électricité naturelle.

Bientôt, la « fée électricité » change la face du monde : elle illumine des villes entières comme Paris, « ville lumière ».

En 1831, Michael Faraday découvre les champs magnétiques.

Très vite, les ondes transforment notre quotidien avec la naissance de la radio et du téléphone.

En 1905, Albert Einstein découvre les fondements de la physique quantique.>Aujourd’hui, elle est utilisée dans des instruments vitaux, comme le microscope électronique, l’imagerie à résonance magnétique (IRM)… ou les lunettes de soleil.

Et en 2006, Luca Turin fait une découverte fantastique sur… notre sens de l’odorat !

C’est la naissance de la biologie quantique.

Et cette révolution est peut-être encore plus importante que les autres !

C’est la preuve que les organismes humains ne sont pas de simples molécules « biochimiques ».

C’est la preuve que nous sommes traversés par des flux d’énergie électrique, magnétique… et quantique.

Et pour la médecine et la santé, cela change absolument TOUT.

Vous allez comprendre pourquoi… mais commençons par le commencement :

Le sens le plus mystérieux des êtres vivants

L’odorat est un des sens les plus sidérants de la nature.

On sait que les limiers sont capables de suivre la trace olfactive d’un être humain sur des kilomètres.

L’odorat d’un ours est même 7 fois plus puissant : les ours sont capables de sentir une carcasse éloignée de 20 kilomètres !

Quant aux simples mites, leur « nez » leur permet de détecter un partenaire (sexuel) à 10 kilomètres de distance.

Le sens de l’odorat fonctionne aussi dans l’eau : c’est grâce à leur « nez » que les saumons parviennent à retrouver la rivière où ils sont nés, après avoir fait un énorme voyage, via l’océan.

Si vous leur bouchez les narines avec du coton, les saumons ne savent plus où aller1 !

Comparé à ces performances, l’odorat de l’être humain semble faire pâle figure.

Et pourtant : l’homme est capable de faire la différence entre 10 000 fragrances différentes.

Surtout, l’odorat a toujours joué un rôle capital dans l’histoire spirituelle de l’être humain. Partout dans le monde, les lieux de prière et de méditation sont imprégnés de parfums et d’épices.

Dans la Bible, on en trouve d’innombrables traces2). Quant aux Egyptiens, ils avaient un dieu du parfum, Nefertum… qui était aussi un dieu de la guérison !

Capter les odeurs est décidément un sens vraiment « spécial ».

Mais par quelle magie parvenons-nous à les sentir ?

Comment fonctionne l’odorat

Ce que nous sentons, ce sont des « molécules chimiques » qui se promènent dans l’air.

En apparence, c’est une grosse différence avec le sens de la vue ou de l’ouïe :

  • La vue capture l’information d’ondes lumineuses ;
  • L’ouïe reçoit l’information d’ondes sonores ;

Le nez, lui, aspire les molécules chimiques en suspension.

Oui, mais le nez ne « sent » pas… il ne fait que « transmettre l’information » au véritable centre de l’odorat : l’épithélium olfactif, situé au fond du nez

C’est un petit espace de 3 centimètres carrés, tapissé de millions de neurones olfactifs.

Lorsque vous pelez un citron, des molécules de limonène entrent dans vos narines, parviennent aux neurones olfactifs, qui transmettent l’information au cerveau : vous sentez !

Mais la grande question, c’est de savoir comment ces neurones parviennent à « capter » les odeurs.

Et c’est un scientifique pas comme les autres, Luca Turin, qui l’a découvert.

Biophysicien et parfumeur, il révolutionne notre compréhension du vivant

Luca Turin est né à Beyrouth, au Liban, de parents diplomates.

Après avoir décroché une thèse de physiologie et biophysique en Angleterre, il est recruté au CNRS français en 1982.

Il fera ensuite le bonheur de l’University College de Londres, puis du MIT aux Etats-Unis… en passant par une grande société de parfumerie !

Car Luca Turin n’est pas un simple « scientifique », c’est aussi un amoureux des parfums.

Sa première « révélation » a lieu à Nice, à 27 ans. Alors qu’il se promène dans les Galeries Lafayette, il remarque le stand d’une marque japonaise, qui diffuse un parfum totalement nouveau, appelé « Nombre noir ».

25 ans plus tard, il raconte cette « rencontre » qui a bouleversé sa vie.

« La fragrance était une surprise radicale. La fleur au cœur de Nombre Noir était entre la rose et la violette, mais sans trace de leur douceur.

J’ai toujours aimé les parfums, mais là, c’était l’Amour. Je venais d’avoir un emploi au CNRS, et devais commencer à faire ce que font les scientifiques : commencer à penser.

C’est Nombre Noir qui m’a lancé dans la grande aventure de la recherche du secret des odeurs… une aventure qui allait prendre 15 ans »((http://www.nytimes.com/2006/12/03/books/chapters/1203-1st-turin.html?mcubz=0)).

Et cette aventure le mena à une découverte inouïe, révolutionnaire :

De l’odorat biochimique… au nez quantique

Jusqu’à Luca Turin, on croyait que l’odorat fonctionnait selon les lois de la biologie « classique ».

Les molécules odorantes, disait-on, stimulent nos cellules comme toutes les molécules de notre corps : selon le mécanisme de la « clé » et de la « serrure ».

C’est très simple : chaque molécule a une forme particulière, comme une clé. Lorsqu’elle entre en contact avec une cellule qui a un récepteur de la même forme (la serrure), la porte s’ouvre, et l’information est transmise.

C’est comme cela que fonctionne TOUS les médicaments : ils comportent une molécule chimique spécifique, choisie parce qu’elle « ouvre la serrure » de certaines cellules et déclenchent des réactions physiologiques.

Par exemple, les anti-dépresseurs agissent pour empêcher certaines cellules du cerveau de « recapter la sérotonine ».

La « clé » (le médicament) ouvre alors toutes les « serrures » identiques qu’elle rencontre.

Dans le cas des antidépresseurs, cela cause d’ailleurs un vrai souci, car nous avons aussi des cellules sensibles à la sérotonine en dehors du cerveau.

C’est le cas des cellules de notre squelette, de nos os… et c’est la raison pour laquelle les anti-dépresseurs sont connus pour provoquer de l’ostéoporose : la molécule médicamenteuse agit sur toutes les cellules ayant le « bon » récepteur !

Vous le voyez, le modèle de clé et de serrure chimique est central en physiologie et en médecine.

Nous captons l’art « vibratoire » des molécules odorantes !

Mais Luca Turin se rend compte que l’odorat ne marche pas comme ça.

Si le modèle de la « clé » et de la « serrure » était le bon, des molécules de forme similaire devraient avoir la même odeur.

Mais ce n’est pas du tout ce qu’on observe !

Une molécule à l’odeur d’urine est quasiment identique à celle d’une molécule qui ne sent rien.

Et des molécules qui n’ont rien à voir chimiquement… émettent la même odeur de musc !

Chimiquement, c’est incompréhensible.

Alors Luca Turin a une idée révolutionnaire.

Ce n’est pas la « forme » de la molécule qui compte… mais la fréquence à laquelle elle vibre !

Il faut savoir que tous les objets de l’univers sont en perpétuelle vibration.

Nos oreilles nous permettent de ressentir les vibrations sonores. Nos yeux captent les vibrations des électrons, qui produisent des couleurs différentes.

Et nos neurones olfactifs captent les vibrations des molécules odorantes !

Cela paraît fou, mais c’est bel et bien prouvé :

Les molécules de soufre sont connues pour avoir des formes très différentes, alors qu’elles ont la même odeur caractéristique d’œuf pourri.

Mais elles ont un point commun : elles vibrent à la même fréquence, autour de 76 térahertz !

Luca Turin a même trouvé une molécule qui vibre à 78 térahertz… et c’est la seule molécule au monde qui sent l’œuf pourri… sans être du soufre !

L’explication « vibratoire » l’emporte donc sur l’explication « chimique » !

Une expérience magistrale l’a encore confirmé :

Des chercheurs ont conditionné des mouches drosophiles, connues pour leur odorat délicat, à ressentir certaines molécules odorantes comme des « punitions ».

Ils leur ont ainsi appris à éviter certains composés vibrant à 66 térahertz.

Et lorsqu’ils ont diffusé des molécules totalement différentes chimiquement, mais vibrant à la même fréquence (66 THz), les mouches fuirent ces molécules comme la peste !

Et savez-vous comment nous sommes capables de détecter des vibrations aussi infimes ?

Par un phénomène quantique hallucinant nommé « effet tunnel » ! (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Au total, c’est une découverte phénoménale, révolutionnaire.

Est-ce que vous vous rendez compte ?

Car c’est la preuve que l’information dans notre corps ne circule pas seulement sous forme biochimique, mais aussi sous forme « électromagnétique ».

Nos cellules ne sont pas seulement des serrures ouvertes par la bonne « clé » biochimique…

…elles sont aussi sensibles aux ondes vibratoires des molécules !

Prenez les huiles essentielles, par exemple : elles sont composées de molécules biochimiques bien connues (terpènes, etc.)… mais elles vibrent aussi à des fréquences différentes.

Et il est possible que leur effet thérapeutique incroyable soit dû autant à leur fréquence vibratoire qu’à leurs molécules biochimiques !

Inversement, il est possible que l’effet pathogène de certains virus ou bactéries soit lié à leur fréquence vibratoire particulière, qui provoque un effet d’entraînement néfaste sur nos cellules.

En pleine santé, nos cellules vibrent à une fréquence particulière… mais des microbes, des produits chimiques, des « mauvaises ondes » électromagnétiques… ou des émotions négatives pourraient les dérégler.

C’est comme la friture sur la ligne : cela empêche une bonne transmission de l’information dans l’organisme… et nuit à la santé !

Les implications de tout ceci sont phénoménales, car cela ouvre la voie à des thérapies fondées sur les ondes (sonores, lumineuses, électromagnétiques, etc.).

C’est la fin du monopole des remèdes « chimiques ».

Et c’est la preuve de la possibilité d’une médecine énergétique, vibratoire, électromagnétique, quantique !

Nos cellules ne sont pas seulement des petites usines biochimiques, qui réagissent à des molécules.

Elles sont aussi équipées de récepteurs électromagnétiques, qui captent des courants d’énergie, notamment magnétiques !

Il y a quelques jours, je vous présentais l’incroyable Carolyn McMackin, qui guérit des maladies incurables comme la fibromyalgie… avec son fameux appareil qui produit des micro-courants électriques.

Souvenez-vous : sa machine « n’agit » que lorsqu’elle est réglée sur les bonnes fréquences : 40 Hz contre l’inflammation chronique, par exemple, ou 22 Hz pour cibler l’intestin.

Si l’on s’en tient au modèle médical classique, biochimique, les guérisons qu’elle obtient sont incompréhensibles.

Mais avec la biologie quantique, ce n’est plus mystérieux !

Oui, des fréquences vibratoires spécifiques (40 Hz, etc.) peuvent agir sur nos cellules… Nous en avons la preuve puisque c’est ainsi que nous « sentons » les odeurs !

Et comme si cela ne suffisait pas, la découverte de Luca Turin nous emmène encore plus loin.

L’odorat est un phénomène quantique… alors qu’on pensait que la physique quantique ne pouvait pas « agir » sur des êtres vivants.

Cela ouvre la porte à des phénomènes inouïs, car ce qui se passe au niveau quantique dépasse totalement notre imagination !

PS : D’ici là, j’aimerais vraiment vous entendre à ce sujet.

Avez-vous entendu parler de « médecine quantique » ? Qu’en pensez-vous ?

Merci de me le dire, en commentaire de cet article !

  1. Ces exemples sont tirés de l’excellent livre Life on the Edge : The Coming of Age of Quantum Biology, de Jim Al-Khalili et Johnjoe Mac Fadden []
  2. L’Eternel dit à Moïse : Prends des aromates, de la myrrhe, de l’ongle odorant, du galbanum, et de l’encens pur, en parties égales. Tu feras avec cela un parfum composé selon l’art du parfumeur ; il sera salé, pur et saint. Tu le réduiras en poudre, et tu le mettras devant le témoignage, dans la tente d’assignation, où je me rencontrerai avec toi (Exode, 30 []

626 commentaires

  • Michel dit :

    Bonjour et bravo pour vos infos
    Effectivement lorsque vous mentionnez nos fonctions électromagnétiques vous êtes en plein dedans.
    je vus suggère de voir le livre
    “Le Livre de Vie de l’Agneau” tapez sur Google, l’enregistrement est totalement gratuit
    Ce phénomène ne peut être plus clair
    Bonne lecture
    Michel
    Ouagadougou

  • Bocquel dit :

    Bonjour
    J ai eu recours à la médecine quantique il y a 4 ans .
    Cela m a permis de sélectionner parmi les remèdes prescrits ceux qui auraient un effet positifs négatifs ou pas d effet du tout.J ai fais 5 séances à intervalles différents.Cela m a bien aidé mais pas guerie.
    Je souffre de polyarthrite rhumatoïde et suis passé par différentes étapes .changement d alimentation.acuponcture magnétiseur.
    Actuellement je m aprete à suivre le traitement proposé avec les huiles essentielles.
    J avoue que la médecine quantique me correspondait bien j habite au Havre dép 76 avez vous un praticien à me conseiller? Je pense que cela pourrai orienter mes choix de soins.
    Comme j ai repris un rdv auprès d un rhumatologie pour effectuer un bilan quant à l évolution de la maladie.Bien entendu lui me propose de reprendre le protocole metotrexan .mais il y a 4 ans le bilan suite au rdv medecine quantique avait détecté que ce medicament n etait pas bon pour moi.

    Par avance je vous remercie pour vos conseils ainsi que pour vos publication.

    Cordialement.

  • Rodrigues Madiela dit :

    je pense que les pierres , roches emettent aussi de l energie , en lisant cette article je me rappele mes journees de sport en montagne , dans un moment de repis et dormant sur des roches , je sentais un sentiment de paix , de rafraichissement un courant electrique , en lisant cette article je me suis rappeler ces moments .

  • Rahmani dit :

    C’est trèsintéressant.. Surtout l’explication de l’odeur de l’oeuf pourri….à suivre..cela va révolutionner la thérapie médicale ert de s’attaquer à certaines maladies incurables…

  • Zaccaria dit :

    Bonjour,

    Je me disais il y’a pas mal de temps que lorsqu’on arriverait à bien comprendre notamment le fonctionnement électromagnétique on pourraient aider les gens à guérir. Idem pour la musique les grecs l’utilidervà des fins curatives. Ressentir la présence de personnes bien ou pas bien intentionné fonctionne pas comme un téléphone mais j’ai le sentiment que cela va aller plus loin . Merci pour l’envoi !

  • Lamy dit :

    Bonjour j’aimerais avoir des renseignements sur la médecine quantique et notamment savoir qui la pratique dans ma région, autour de Lyon (Rhône/69) ? Merci d’avance.

  • Perreard Georges dit :

    Bonjour. Oui, Tout n est que vibration il y a les bonnes qui rendent heureux celles de la nature et celles nocives émises par les inventions humaines. J ai remarqué par ex que toutes les familles vivant à une certaine distance de voies ferrées( +-50m) ont eu un ou plus membre décédé de cancer ou leucémie dans ma campagne. À volume sonore égal certains bruits sont intolérables alors que d’autres passent inaperçus ex moteurs automobiles trois cylindres rendent irascible. Merci pour cet espoir de ” contre-nocivité “.

  • Das dit :

    Oui c’est sûr on a encore beaucoup de choses à mettre en lumière.. La bioanalogie exprime d’une certaine façon cela et la méthode des 2 points également sur le champs de vacuité cet espace d’énergie

  • cutajar.chantal dit :

    Passionnant, cela ouvre le champ des possibles !

  • Marc Michel Lyraud dit :

    Bonjour Dr Bazin,

    Merci pour l’ensemble de vos publications que je lis régulièrement depuis plusieurs années. Elles aident souvent à satisfaire ou guider mes nombreux questionnements et curiosités en matière de santé et de qualité de vie.

    Cet article suscite une question. Connaissez vous un(e) ou un groupe de cardiologues ouverts aux procédés quantiques pour soigner autrement que par la chimie une cardiopathie récente (Infarctus) et une FA de 25 ans d’âge tolérée régulée par homéo + phyto + aspirine. (Rendus “obsolètes” depuis l’incident.)

    Je suis particulièrement sensible et ouvert à tout ce qui respecte la vie, ces lois, procédés et principes naturels.

    Pour le moment je suis pris en charge et donc soigné trop classiquement à mon dégoût. (Statines, béta-bloqant, fluidifiants et antiplaquettaires associés, etc …) mon foie et mon estomac apprécient de plus en plus mal ce nouveau régime.
    Je suis persuadé qu’à défaut de me rendre un corps de 20 ans (quoique dans qq décennies … ?) la médecine énergétique pourra m’accompagner très utilement en cohérence avec mon empreinte vibratoire au plus loin que mes petites cellules accepteront de vibrer en conscience et jubilation.

    Je profite de ce mail que j’ai lu avec attention pour vous demander de m’aider dans ma démarche, je recherche des solutions hors chimie artificielle. Je vis proche de Toulouse et peux très facilement “monter” à la capitale si besoin.
    Merci pour votre réponse.
    Coeurdialement, ?
    Marc

    Ps : si ce commentaire en retour peut aussi nourrir à sa façon votre réflexion sur ce que vos lecteurs peuvent penser de la médecine quantique, alors bingo. Je suis plus que disposé à lâcher la chimie au profit de quantique et du vibratoire.

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