Cher ami,
Je ne parle pas souvent de faits divers.
Mais celui-ci avait ému au-delà des frontières de la Suisse, où il s’est déroulé.
Nous sommes le 24 mars 2022, à Montreux, sur les rives du Léman.
Une famille française se jette du septième étage de son balcon.
D’abord la sœur jumelle, puis la mère, puis la petite fille, puis le fils adolescent et enfin le père.
Seul le fils survit, mais reste sans aucun souvenir du drame.
Une enquête est ouverte et très vite, conclut au « suicide collectif ».
Un an après, elle est close.
Difficile d’expliquer les raisons de leur geste : adhésion aux thèses survivalistes, dérives sectaires, délire de persécution…
Rien n’est laissé de côté.
Sauf… une piste peut-être un peu trop « non conventionnelle » :
Le fantôme du grand-père des jumelles encore (trop) présent ?
C’est l’hypothèse formulée par la journaliste française Ariane Chemin, dans Ne réveille pas les enfants((https://www.fnac.com/a18125445/Ariane-Chemin-En-vase-clos-titre-provisoire#omnsearchpos=1)).
Pour arriver à cette surprenante idée, elle a remonté l’histoire des sœurs jumelles, Narjisse et Nasrine Feraoun.
Leur grand-père n’était autre que l’écrivain algérien Mouloud Feraoun((https://www.persee.fr/doc/xxs_0294-1759_1999_num_63_1_3854))…
… lui-même sauvagement assassiné par l’OAS (Organisation de l’armée secrète) quelques jours avant la signature des Accords d’Evian qui mirent fin aux 18 ans de guerre.
Quel rapport ? me direz-vous.
C’est là que l’histoire devient intrigante !
(Surtout si vous êtes convaincu comme moi qu’on ne transmet pas uniquement un patrimoine génétique à son enfant !)
Je ne veux évidemment pas vous dévoiler tous les détails de son livre ici mais…
Ariane Chemin voit un lien invisible entre l’histoire traumatique du grand-père qui a pesé sur toute la famille…
… et le drame des jumelles – bien qu’elles ne l’aient pas connu, de son vivant.
Comment un drame pourrait-il, à distance de l’événement, tant d’années après, resurgir et « provoquer » un autre drame ?
Le psychiatre de l’hôpital Paul-Brousse à Villejuif, le Dr Amine Benyamina, l’aide à « comprendre » et « rationaliser » son intuition :
Et s’ils avaient été « victimes » d’une paranoïa… transgénérationnelle ?
Pour ce médecin spécialiste de ces questions,
« On ne peut pas porter le nom de Feraoun et mourir de cette façon, 60 ans exactement après l’assassinat, sans qu’il y ait un lien ou au moins une piste à explorer » écrit-elle, p. 160 de son livre, relatant son entretien avec lui.
Le psychiatre est formel : la peur objective vécue par le grand-père a très bien pu « faire écho chez les générations suivantes. »
Celui-ci « a probablement creusé malgré lui le lit d’une décompensation pour une partie de sa descendance. »
Une paranoïa qui se transmet de génération en génération ?
Le phénomène n’est pas si farfelu.
Il a même un nom : la paranoïa transgénérationnelle.
Mais le médecin le reconnaît à demi-mots : « il n’y a pas de preuves scientifiques, mais plusieurs cas très bien documentés dans la littérature médicale. »
Pourtant, depuis que la psychanalyse s’est penchée sur l’inconscient, elle le constate elle aussi.
Des schémas comportementaux, des blessures, des traumatismes non résolus peuvent venir « hanter » des générations entières !
Mais si cette transmission se situait ailleurs que dans notre inconscient psychique… et plutôt dans :
Vos cellules : lieu de vie… et de mémoire ?
Cette puissante intuition est partie elle aussi d’observations, notamment chez des patients qui avaient été greffés.
En 1998, le livre A Change of Heart, raconte l’histoire de Claire Sylvia, jeune institutrice qui a subi une transplantation cœur-poumons 10 ans auparavant.
Immédiatement après son opération, elle s’est mise à aimer des aliments qu’elle n’appréciait pas du tout avant.
Danseuse et attentive à sa santé, elle avait soudainement des envies irrépressibles de nuggets !
Elle se sentait aussi attirée par les couleurs froides, elle qui aimait le rouge et l’orange vif.
Elle raconte même être devenue agressive alors qu’elle était très douce.
Aussi étrange que cela puisse paraître, tous ces nouveaux traits de personnalité étaient en tout point ceux du donneur((https://www.retrouversonnord.be/MemoireCellulaire.htm))…
Plusieurs neuroscientifiques se sont intéressés à son cas et d’autres – assez nombreux en réalité.
Et pour le neuropsychologue hawaïen Paul Pearsall, il existe un possible transfert de personnalité entre le donneur et le receveur…
… par le biais d’une mémoire cellulaire.
Ainsi, dans l’infiniment petit de notre être, nos cellules porteraient ainsi la trace d’une histoire, d’émotions, d’intelligence et de vécu… antérieurs…
À nous d’apprendre à « décrypter » ce langage qui n’appartient qu’à elles.
> Mais par où commencer ?
> Comment entrer en communication avec nos cellules et leur mémoire ?
> Et surtout serait-il alors possible de
Reprogrammer vos cellules pour changer de trajectoire ?
Par chance, j’ai rencontré le mois dernier l’une des plus grandes expertes françaises en mémoire cellulaire, Françoise Nallet, pour la revue Médecines extraordinaires.
Elle vient d’ailleurs de publier un ouvrage sur le sujet, qui la passionne depuis plus de 20 ans :
Et je dois dire que sa rencontre ne m’a pas laissée indifférente !
Pour elle, « toute forme d’information cellulaire est constituée de multiples points semblables à un code Morse ».
Ces impulsions courtes ou longues formulent une sorte de texte où siégeraient nos traumatismes, les accidents, les blocages…
Certains peuvent d’ailleurs être très anciens (jusqu’à 700 ans !).
C’est pourquoi, m’a-t-elle expliqué, certains membres d’une famille auront davantage de caractéristiques physiques ou émotionnelles de leurs ancêtres.
Tout dépend de leur « énergie »…
Était-ce le cas pour les jumelles dont la mémoire cellulaire portait encore les stigmates et la paranoïa de leur grand-père ? Personne ne peut évidemment le prouver !
Toujours est-il, qu’en devenant attentif à ce que vos cellules vous « disent », il est possible de reprogrammer votre mémoire pour sortir de vos schémas limitants… et vous ouvrir à une profonde transformation – y compris en cas de maladie.
Françoise Nallet en est absolument convaincue !
Je sais que cette théorie peut sembler saugrenue, mais les cas de patients qu’elle raconte sont assez… troublants.
Il y a notamment Sophie atteinte d’algodystrophie depuis 4 ans et sur laquelle aucun traitement ne fonctionne.
Pour Françoise Nallet, un pied n’est pas qu’un pied… mais une ouverture sur les « mémoires antérieures ».
Elle a alors procédé à un nettoyage complet des mémoires de Sophie… (elle détaille tout le processus dans l’article de la revue Médecines extraordinaires).
Après plusieurs séances, Sophie était complètement rétablie.
Mais elle m’a aussi parlé de l’eczéma de Marylise… (un cas spectaculaire de mémoire rebond !)
Françoise Nallet m’a expliqué très simplement comment tout est « engrammé » dans nos cellules, et comment ensuite cette énergie se transforme parfois en maladie, blocage etc.
Mais aussi comment identifier qu’une mémoire cellulaire doit être nettoyée !
Prenez soin de vous,
Antoine Harben
PS : Si vous pensez que la « science » délaisse complètement cette question de mémoire cellulaire, détrompez-vous ! En 2012, le Collège de France a inauguré une nouvelle chaire intitulée « Epigénétique et mémoire cellulaire ». C’est la généticienne Edith Heard qui la préside depuis 11 ans. Voilà qui devrait faire réfléchir les plus cartésiens !
je voudrais vous dire quelque chose,ma fille est morte il y as 3ans ,elle avait fait3hemoragies dans le cerveaux(maladie de moya moya.)elle avait pas perdues la mémoires,en centre de rééducation a Bretinier ,elle reconmmancais marché,mais un remplacement a trouvé bon de lui faire le vaccins en 2fois ,alors que c’était interdit part les professeurs de Besançon,il a caché derrière un placard un morceaux de papiers avec un mot fait le vaccins du COVID,ma fille as refait 2hemorragies coma dépassé,j’ai interdit le prélèvement du coeur et des reins mais il ont prélèvements .quand même,sous prétexte que monsieur le Président Macron,avait fait une loi autorisant.c’etait le15 juin2021.j’espere que le receveur soit en bonne santé.
cette théorie a été mise en avant déjà depuis longtemps avec la Bio Psycho généalogie ..
en effet nous transmettons par nos gènes l’histoire familiale donc les expériences les blessures les traumatismes
suitea son hémorragique, l’hôpital de Belfort a prélever son coeursj’etaitpas d’accord,mais il l’ont pratiquée quand même,c’était en juin2022.elle avait la maladie de moya moya. jesuis thérapeute,maître de reiki.
Je n’ai pas d’hypertension, n’ai aucune douleurs, juste ma cervelle qui me fait défaut, souvent, à la suite d’un
Burn out,voici, 25 Ans. Mon seul traitement t est le ginkgo. Biloba.
Je ne suis jamais malade, depuis des dizaines es d’années.
Une attention pour la nourriture, de qualité, et je mange moins, ce qui me va très bien.
A 83 Ans , j’assume encore, un peu, un train de maison, lourd.
Mer i